Loin de moi l'idée de lancer un débat, mais j'ai commencé à apprivoiser le rhône avec la Janasse VV en 2007 et 2006.
Certes, il semble que je sois bien tombé, mais un souci me taraude...
J'ai été subjugué par ce vin (le mot n'est pas faible concernant le VV 2007), et me demande comment on peut encore acheter des grands bordeaux à 2 ou 3 (voire 4,5,6,7,8 ...) fois plus chers lorsqu'on a gouté à ça.
Je suis médocain d'origine, assez bourru, chauvin, et pétri de plein d'autres défauts
, cela dit, j'aimerais savoir comment vous concevez ces grandes cuvées rhodaniennes au rapport Q/P fabuleux (je mets à part les grands Guigal et autre Chave ou Chapoutier, quoi que...) comparé à leurs comparses bordelais ?
Sachant, bien évidemment qu'un grand Médoc, PL ou St Em, ne se conçoit favorablement qu'au gré des années passées en cave.
Comment concevez-vous vos grands rhônes par rapport à vos grans bordeaux ?
A quoi sert de boire un grand bordeaux jeune que l'on saura fermé ?
Doit-on déguster autre chose ( Crozes, CDR ....) qu'un grand CDP, Côte-rotie ou Hermitage jeune même si la syrah ou le grenache se fait séduisant alors que les années vont les sublimer ?
Merci de m'éclairer,
Franck.