J’ai ouvert ce soir ma première bouteille de
Saint-Joseph rouge 2017 d’A. Perret.
A l’ouverture, à 18h30, le vin était austère et « dur ». A table à 20h30, il devenait plus abordable.
Il a continué à évoluer depuis et maintenant, il offre:
-Un nez sur le cassis et la mûre. Les fruits frais s’associent à des notes de violette et de poivre sur un fond fumé.
A l’ouverture, c’était des arômes de sureau qui s’imposaient et qui ont disparu progressivement.
-Une bouche concentrée, aux tannins fins, qui possède un beau volume et dont la matière rencontre une acidité plaisante aux saveurs de fruits noirs frais, elle apporte fraîcheur et équilibre et elle allonge la finale à la délicate astringence.
A l’ouverture, c’était une sensation d’austérité « froide » qui se manifestait.
Un vin à ouvrir plusieurs heures à l’avance pour lui permettre de nous apporter du plaisir