Bonsoir Patrick,
Je te réponds avec plaisir dans cette rubrique "
Domaine Rapet".
Dans le cadre de cet épisode conflictuel actuel, pour moi résolu, cet échange aura pas mal de lectures et poussera peut-être les lecteurs à lire les autres commentaires sur le Domaine.
Tu es bien placé pour savoir que j'ai mauvais caractère.
Tu m'avais nommé modérateur du forum Bordeaux de ton site et, quand tu m'as viré en 2002, d'autres m'ont suivi et nous avons créé LPV
Mon mauvais caractère, toujours, m'a fait quitter LPV en 2017, après 15 ans d'investissement intensif au quotidien et en donnant gratuitement à Olivier Didon les parts de la SARL de Droit Suisse LPV que j'avais payées, à la suite d'un conflit avec des associés.
Cette fois, je ne vais pas partir. Je me sens bien sur ce site sur lequel ses administrateurs, mes amis, m'ont accueilli.
J'y ai noué des amitiés virtuelles de grande qualité et qui me sont précieuses.
Tu sais que je ne suis pas rancunier. J'ai une très grande estime pour tes qualités professionnelles et je les souligne, j'adore boire tes vins et j'ai demandé à mon ami Daniel de les entrer dans sa cave pour pouvoir en acheter et les déguster avec plaisir, comme l'attestent mes commentaires.
Je me suis emporté sur Christian, dont je ne doute pas des grandes qualités humaines et dont je dévore les notes de dégustation intéressantes, quand, comme il le dit lui-même, sa
"précision a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase".Pourquoi le vase a-t-il débordé ?
Un exemple que j'ai déjà cité:
en 2020, nous sommes deux à lui souhaiter son anniversaire, moi en gros caractères gras et Alex en petits caractères, il ne remercie qu'Alex.
Tu qualifies comment cette façon de faire ? Cela coûte quoi de remercier les deux ?
Il n'a peut-être pas vu mon message comme il n'a pas vu celui où je citais correctement les références du Premier Cru de Rapet.
Il a été obligé d'intervenir pour corriger l'erreur de classement, après des jours et des jours de "silence" sur le site.
Spécialiste agréé de la fonction publique, je n'ai rien contre les professeurs de Latin
Tout au contraire, j'adorais cette discipline mais je savais que je plafonnais quand, le 16 juin 1970, je n'ai obtenu que le deuxième prix de version latine au Concours Général de l'Université Catholique. Je pensais faire Droit, les circonstance de la vie m'ont fait faire Médecine.
Voilà , Patrick, un résumé des circonstances qui m'ont poussé à faire, une fois de plus, preuve de mauvais caractère.
Avec l'expression de mon estime et de mon amitié virtuelle bien sincères,