salut à tous,
Eric, c'est pas bientôt le cas à Cornélie puisque c'est déjà le cas,
la cuvée a été mis en bouteille le 21 décembre sans avoir eu le moindre soutirage. Au grand étonnement de mon oenologue les résultats analytiques étaient tout simplement parfais.
Sur Cornélie 2006, j'ai soutiré les barriques d'occasions 1 seule fois ( et je le regrette, je dois le faire pour changer de chai et faire les malos pour le N+1 dans un chai bien isolé, le lendamain de ce soutirage je trouvais une clim....ah quelle patate...) et les barriques neuves pas encore et je pense que je ne le ferai pas avant le collage s'il s'avère nécessaire.
Caroline, je n'avais pas encore eu l'occasion de te saluer, je te souhaite la bienvenue sur BDE, tu verras y'a qu'une fine équipe d'assoiffés de bonnes trouvailles et de rencontres (y'en a pas un pour sauver l'autre
mais ils sont tous super chouet.... heu j'me rattrappe
). Merci d'apporter ta petite touche technique, beaucoup n'étant pas du métier, et malgré leur grande volonté de toujours mieux connaître, ils ont besoin de détails pour paufiner leurs analyses.
Concernant l'élevage, je te rejoins totalement concernant les lies, je n'élève pas sur lies épaisses, bien sur, mais je trouve que l'on brasse le vin suffisamment avant (entre les malos, assemblage et autre demandes de bouger le vin), je ne fais que sur lies fines et il y en a très peu. Sur mon 2006, aucune réduction (ni oxydation...) à la grande surprise de ceux qui l'ont dégusté. Les prochaines dégustations seront des plus intéressantes surtout que le vin approche de la mise (surement pas avant Mai, peut-être Juin...)
au plaisir de te lire ou de te faite déguster
salut les amis (là j'me rattrappe pas, c'est sincère
du p'ti Frenchi au p'ti Suisse)
Patrick (heu où est-ce que je vais pouvoir cacher la clé de ma cave...)