Solaire selon moi ne se rapporte qu'à un millésime dont le climat a été solaire, c'est à dire chaud et sec (ex : 2003).
Lalex a écrit:Solaire selon moi ne se rapporte qu'à un millésime dont le climat a été solaire, c'est à dire chaud et sec (ex : 2003).
Greg,
Sur un même millésime, certaines cuvées ne peuvent elles pas être plus "solaire" selon les parcelles et leur exposition ?
Alex,
BEN a écrit:Quand j'entends "solaire", je visualise Sebastien entrant dans un concours de dégustation.
Les conversations s'arrêtent, les regards se figent sur lui, il est là , rayonnant d'assurance, digne, la stature d'un leader redouté.
Hummm, je cherche un terme pour définir Sebastien qui sort du coucours ...
BEN a écrit:Quand j'entends "solaire", je visualise Sebastien entrant dans un concours de dégustation.
Les conversations s'arrêtent, les regards se figent sur lui, il est là , rayonnant d'assurance, digne, la stature d'un leader redouté.
Hummm, je cherche un terme pour définir Sebastien qui sort du coucours ...
Eric.iaccAlpin a écrit:Donc ce ne serait qu'un synonyme pour une vendange bien mure. Je suis déçu…
Eric.iaccAlpin a écrit:« Solaire ». Une petite recherche sur le forum montre que ce mot s'applique : à un vin, à un élevage, une cuvée, à un cépage, à la bouche ou au nez (sensations en dégust.), à l'expression aromatique, à un millésime, à une orientation du terroir ou des vignes, … ; que solaire, un vin peut l'être assez, très, voire trop. Etc. etc. etc. Un mot devenu indispensable dans l'expression verbale de l'œnophile… depuis seulement quelques années en fait (rare en tout cas au XXè s.). Mais pour ce qui est d'en trouver une définition ? Bernique et queue de chie ! D'où ma (1ère) question : vous mettriez quoi comme définition, qui puisse s'accorder avec toutes ces expressions ?
Eric.iaccAlpin a écrit:
Et, 2nde question, ce qui n'est pas solaire, c'est quoi ? "Lunaire" ne se retrouve dans les forums qu'associé aux cycles de notre satellite ; "terrestre" va rarement sans le préfixe "extra-" ; "planétaire" est associé soit avec le réchauffement, ou avec le renom, ou le commerce…
À moins de 5 jours du solstice, vos lumières, solaires ou autres, m'éclaireront, je n'en doute pas — merci d'avance, chaleureusement -- Éric
Eric.iaccAlpin a écrit:Retour au "solaire". Donc ce ne serait qu'un synonyme pour une vendange bien mure. Je suis déçu… Pour l'usage de ce mot, il suffit de faire une 'tite recherche sur ce forum, il est souvent manipulé avec dextérité, histoire, j'imagine, de bien montrer que son usager possède un haut degré d'expertise… Hum ! l'expertise serait-elle plus œno-linguistique que techniq!!! TROLL-FLAG UP !!! Oups, pardon…
Eric.iaccAlpin a écrit:Je vais reposer ma question autrement : l'optimum de "solarité" (j'adopte, merci Sebastien) est-il selon vous intimement lié à l'optimum de maturité phénolique ? Le premier est défini assez qualitativement, mais dans le champ de la dégustation ; le second, basé sur des dosages chimiques (les polyphénols, ex: <http://www.sarco.fr/index.php?r=37> mais rarement présent dans les fiches techniques…), est un indicateur important pour initier les vendanges. SI la solarité est cionsidérée comme une mesure de qualité, et qu'elle est liée strictement à la maturité phénolique, cela veut-il dire que vinification et élevage ne sont que des révélateurs, mais n'influent pas ou si peu pour améliorer la qualité du jus ?
-- Éric
Sebastien a écrit:Il y a la limite nord de maturité...et dorénavant la limite solaire d'acceptabilité. Ciao les gars le water-polo m'attend!...mais non je déconne je vais me régaler
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